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07/10/2019
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Il est « à fond » derrière la candidature des Landes avec les villes de Capbreton-Hossegor-Seignosse et MACS, et ne s'en cache pas. Joan Duru, c'est l'enfant du pays, né sur les vagues d'Ondres où il a appris à surfer avec son père, avant de rejoindre à 10 ans le Hossegor Surf Club pour écumer les compétitions. Faute d'un bon classement pour sa 3e année sur le Tour pro CT, Joan Duru ne participera sans doute pas aux Jeux de Tokyo l'an prochain mais à 30 ans, il rêve déjà de 2024 « à la maison ».
Jérémy Florès est, lui, pour l'instant virtuellement qualifié pour les JO-2020 et l'ambiance olympique lui met l'eau à la bouche : « c'est un peu comme aux Mondiaux, avec une ambiance de groupe unique puisqu'on surfe pour son équipe alors qu'on a l'habitude de surfer pour soi-même ». Mais pour 2024, le Réunionnais, amoureux des vagues de corail mais qui passe une partie de l'année sur les bancs de sable de Capbreton, préfère ne pas se positionner :« toutes les candidatures sont des spots magnifiques, ce sera sympa où que ce soit ».
Sans surprise, le Tahitien Michel Bourez, proche d'une qualification pour les Jeux 2020, milite pour son île : « si on m'avait dit "on fait les Jeux à Hossegor ici en octobre", je serais heureux comme pas possible ! Mais pour le show à cette époque de l'année (les JO-2024 sont prévus du 26 juillet au 11 août, ndlr), Tahiti c'est beaucoup mieux pour les belles vagues ».
Un avis que ne partage pas du tout Joan Duru : « cet été, on a eu des supers vagues en août, plus petites que maintenant c'est sûr, mais il y a toujours de quoi faire et souvent bien mieux que plein de compétitions dans le monde sur des spots de reef. Ici, c'est toujours marrant à surfer ».
Le jeudi 3 octobre, le président du CIO, Thomas Bach, a semble-t-il douché les espoirs tahitiens, en affirmant préférer une option "proche du centre des Jeux" à Paris « afin que les athlètes et les spectateurs puissent profiter de l'atmosphère des Jeux ».
Décision courant 2020.
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